Bruges (Gironde)

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Bruges
Bruges (Gironde)
La mairie.
Blason de Bruges
Blason
Bruges (Gironde)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Bordeaux Métropole
Maire
Mandat
Brigitte Terraza
2020-2026
Code postal 33520
Code commune 33075
Démographie
Gentilé Brugeais
Population
municipale
20 215 hab. (2021 en augmentation de 11,22 % par rapport à 2015)
Densité 1 422 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 01″ nord, 0° 36′ 41″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 31 m
Superficie 14,22 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Bouscat
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bruges
Géolocalisation sur la carte : France
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Bruges
Géolocalisation sur la carte : Gironde
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Bruges
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Bruges
Liens
Site web www.mairie-bruges.fr/

Bruges est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans son unité urbaine au nord-ouest de Bordeaux (6 km au centre de Bordeaux) et arrosée par la Jalle de Blanquefort.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Blanquefort, Le Bouscat, Bordeaux et Eysines.

Communes limitrophes de Bruges
Blanquefort
Eysines Bruges Bordeaux
Le Bouscat

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 850 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mérignac à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 924,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bruges est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[11] et 1 008 509 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (59,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34,9 %), prairies (24,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (22,4 %), eaux continentales[Note 3] (8,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,4 %), forêts (1,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Accès par la rocade (A 630E5) aux sorties Sortie 04a - Le Tasta, Sortie 05 - ZI Bruges Bordeaux Fret et Sortie 06 - Bruges centre.

Réseau TBM actuel[modifier | modifier le code]

Bruges est desservie par les lignes TBM suivantes:

  • (T) (C) (de l'arrêt Cracovie à l'arrêt Gare de Bruges)
  • (T) (D) (arrêts Champ de Course - Treulon et Sainte-Germaine)
  • (Bus) 15 29 33 35 37 72 73

Réseau TBM à compter du 4 septembre 2023[17][modifier | modifier le code]

Bruges sera desservie par les lignes TBM suivantes:

  • (T) (C) (de l'arrêt Cracovie à l'arrêt Gare de Bruges)
  • (T) (D) (arrêts Champ de Course - Treulon et Sainte-Germaine)
  • (Bus) 7 - 15 - 33 - 35 - 37 - 70 - 72 - 75

Réseau Trans Gironde[modifier | modifier le code]

Le réseau Trans Gironde ne dessert pas la commune.

Train TER Nouvelle-Aquitaine[modifier | modifier le code]

La gare de Bruges est située sur la ligne du Médoc et voit passer les trains reliant Bordeaux aux différentes villes du Médoc.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bruges est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[20]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1984, 1986, 1993, 1999, 2009, 2013 et 2018[22],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bruges.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 891 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3 891 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2005, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Broia (1126-1147) / Bruia[26]; [capelle de] Bruges (1276)[27], [parrochia de] Bruja (1311) de prononciation [bryjə].

La signification du toponyme reste conjecturale, car un dérivé du thème celtique vroika / gallo-roman *brūca « bruyère » aurait donné en gascon Brugà et non Bruge(s)[28].

La graphie restituée est Bruge.

Ses habitants sont appelés les Brugeais[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1963 1995 Raymond Manaud    
mars 1995 2010[30] Bernard Seurot RPR puis UMP  
novembre 2010
(réélue en 2020)
En cours Brigitte Terraza[31],[32] DVG Fonctionnaire
Vice-présidente de Bordeaux Métropole (depuis 2014)

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[33].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[35],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 20 215 habitants[Note 5], en augmentation de 11,22 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0007658049109299879791 0501 069
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2411 2871 3261 4581 5081 6372 0001 9822 271
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3192 1762 1772 3662 5322 9682 6973 4244 003
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5 3496 6127 6107 6868 75310 61012 95515 51218 037
2021 - - - - - - - -
20 215--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
Rang de la commune dans le département 18 17 21 21 21 19 19 16
Nombre de communes du département 548 543 543 542 542 542 542 542

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La ville de Bruges propose quelques événements qui lui sont propres :

  • la « Fête de la Saint-Pierre » se déroule annuellement le dernier week-end de juin, en honneur à l'église éponyme. Cet événement qui dure trois jours propose entre autres des attractions sur la place en face de la Mairie ainsi qu'un feu d'artifice (parfois musical) depuis le terrain de football du stade municipal de Verdun ;
  • le vide-grenier : se déroule annuellement le premier samedi du mois d'octobre ;
  • la fête de la musique, le 21 juin de chaque année, propose une balade familiale à l'intérieur du parc Treulon où trois scènes (12 groupes) vous permettent d'apprécier des musiques de genres différents ;
  • en plus de cette fête, la commune organise des événements réguliers classiques pour Noël, Halloween, ou bien encore le marché tous les samedis matin.

Sports[modifier | modifier le code]

  • Entente Sportive de Bruges-Club Omnisport (ESB), créée en 1968, 19 sections, 2 600 licenciés.
  • Entente Sportive de Bruges Handball, section regroupant plus de 300 licenciés ; pour la saison 2016-2017, l'équipe masculine senior participe au championnat de France de handball de Nationale 1 (3e échelon national).
  • Entente Sportive Bruges-Blanquefort section rugby.
  • Centre de voile de Bordeaux-Lac.
  • Centre de remise en forme aquatique « Calicéo ».
  • DOJO 114 - Centre regroupant quatre associations sportives et socio-culturelles: L'ASTD / Ju Jitsu Sekko Te Dori // L'Association Bardon: Kung fu// Tai chi chuan // Ki Kong // MMA.

Ouvert 7/7 et 24 /24 sur demande. Climatisée. Siège social du centre de formation Professionnel : A.S.T.D Sécurité et Technique de Défenses en milieu Conflictuel.

Service public[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

  • Nombres de demandeurs d'emploi en août 2018 : 1930[42].
  • Revenu moyen par ménage : 32 038  par an

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

La ville dispose d'un espace culturel où sont organisés de nombreux événements, spectacles et one-man show.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes

Les armes de Bruges se blasonnent ainsi :

Écartelé, au premier d'argent à la vache contournée de gueules, au deuxième de gueules aux trois grappes de raisin accolées tigées et feuillées d'argent, au troisième de gueules aux trois annelets d'argent, au quatrième d'azur aux trois vanneaux d'argent rangés en barre ; sur le tout, un écusson en losange d'or à la clef renversée d'argent, panneton à senestre ; le tout sommé d'un chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'argent.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Bruges et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bordeaux-Mérignac » (commune de Mérignac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bordeaux-Mérignac » (commune de Mérignac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Le réseau TBM à compter du 4 septembre 2023
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Bruges », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Bordeaux », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bruges », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. Cartulaire de La Sauve
  27. Rôles Gascons
  28. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5)..
  29. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 23 octobre 2014.
  30. À la suite de la démission de 14 conseillers municipaux le 17 septembre 2010, une nouvelle élection anticipée a eu lieu : Crise à Bruges : 14 élus de la majorité du maire Bernard Seurot démissionnent, Sud Ouest.fr du 13 septembre 2010.
  31. Bernard Gazeau, « Terraza réélue, Veissier opposant « constructif » », sur sudouest.fr, Groupe Sud Ouest, (consulté le ).
  32. « Résultats des élections municipales 2014 Bruges (33520 - Gironde) », sur lexpress.fr, Groupe Express-Roularta, (consulté le ).
  33. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
  34. Annuaire des villes jumelées
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  39. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  40. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  41. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  42. « Statistiques trimestrielles Pôle emploi », sur statistiques.pole-emploi.org (consulté le ).
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  44. Notice no PA00083493, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.